Mon boucher est un rusé. Cette
histoire fera sourire ceux qui étaient là samedi soir... Le samedi de mon aniversaire voili... Imaginez que vous avez une furieuse envie de
recevoir des amis et que vous passez chez votre boucher pour lui commander ce qui sera le
clou du repas. Imaginez qu'il s'agira d'un superbe carré d'agneau. Dix huit côtes
premières entrelacées. Vous sentez déjà l'odeur et vous êtes tout heureux à l'idée
que vos amis vont apprécier votre bon goût... Ben oui, un carré c'est quand même mieux
que des andouillettes. Enfin, chacun son idée.
Bref, commande est passée auprès de monsieur le
boucher qui est bien poli puisqu'on lui laisse un peu de blé toutes les semaines. Oui...
Bon, non, ce n'est parce qu'il est végétarien et que nous sommes des adeptes de al
culture macrobiotique que nous lui laissons du blé toutes les semaines.
Bref, commande est passée. Lendemain, oh surprise,
il faut payer et blé encore laisser...
p'tain j'suis bon en rimes en ce moment...
Mais cette fois, près de 500 francs sonnants et
trébuchants laisser il faut. Yoda surpris...
Explication de Monsieur mon boucher qui est bien
rusé :
Prenez les meilleures côtes du monde (les siennes)
à 187 francs le kilo, 18 côtes qui pèsent avant dépeçage et mise en forme du carré
quelque 3 kilos et quelque et vous avez le compte. Voui lui réponds-je. Mais quand
même... Mon carré là que vous me présenta ne pèse que 1,4 kilos monsieur le renard...
Maaaaaa cé que avant que j'enlève le gras et les
os... il pesait dans les 3 kilos...
Ohhh, mais ça fait cher le kilo de gras ça
monsieur le boucher rusé, lui réponds-je.
Bon, tout ça pour dire que après cuisson et
consommation par Kitetoa et ses amis, il convient de dire que le carré était bon. Mais
cher. Surtout le gras.
L'adresse de mon boucher pour ne pas se faire avoir
comme moa ?
heeuuu.....
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