[Kitetoa, les pizzaïolos du Ouèb

Jean-Paul Ney, l'homme qui invente des experts et des équipes plus vite que son ombre...

Souvenez-vous... Il y a quelques années alors que Jean-Paul Ney commençait à flooder le forum de Kitetoa.com en y vomissant sa haine, nous avions pris le soin de regarder qui étaient les membres de « l'équipe » de son site Intelink.

Surprise, les photos des gens mentionnés dans son équipe de choc étaient celles qui apparaissaient lorsque l'on faisait une recherche dans les images répertoriées par Google avec comme mot-clef « Ney ».

Bref, on avait là une équipe fantôme de première catégorie. Il semble bien que l'immense Jean-Paul Ney ait refait le coup avec un "expert", "formateur" de l'armée française.

Reprenons cette histoire depuis le début, pour mieux en saisir le côté tragique.

Il y a quelques jours, accusée d'avoir « bidonné » le reportage sur la mort du petit Mohamed Al Dura, France 2 a annoncé avoir porté plainte contre X pour "diffamation publique".

Mohamed Al Dura est ce petit garçon qui est mort dans les bras de son père sous les yeux des caméras. Il avait été tué lors d'affrontements entre palestiniens et l'armée israélienne en septembre 2000.

La théorie d'un bidonnage a été développée par l'extrême-droite israélienne depuis des lustres. La mort d'enfants depuis le début de l'intifada est chose courante. Pourquoi les mouvements extrémistes se battent-t-ils avec tant de rage contre ce reportage? Probablement parce que c'est l'un des seuls où l'on ne voit pas un enfant jeter des pierres contre l'armée israélienne. C'est un enfant dans les bras de son père, qui pleure. Il a peur. Son père aussi. Les deux supplient les belligérants de cesser le feu. Bref, des images insoutenables et surtout, des images qui ne souffrent aucune « excuse » de type « il attaquait les soldats ».

Quoi de pire que la mort d'un enfant sans défense? En termes d'image, c'est déplorable.

En France, un livre a tenté de populariser la thèse selon laquelle le petit Mohamed Al Dura ne serait pas mort. Tout cela serait un canular monté par le correspondant de France 2 en Israël, Charles Enderlin. On trouve ici la probable seconde motivation des extrémistes qui soutiennent cette thèse. Charles Enderlin est reconnu comme un expert du conflit israélo-palestinien. Il a écrit deux livres de référence sur le sujet. Et il n'est pas toujours tendre avec le gouvernement israélien actuel. Il ne l'est pas non plus avec les groupes d'extrême-droite israélienne. Favoriser une thèse selon laquelle il aurait bidonné un reportage comme celui-ci permet de le décrédibiliser. Nombreux sont ceux qui y ont intérêt.

Outre ce livre, le deuxième vecteur, en France, de propagation de cette théorie est le journal Le Confidentiel. Ce magazine, qui ne semble plus paraître aujourd'hui, était dirigé par Jean-Paul Ney et publié par les éditions Publia. Il a repris dans son numéro 3 (janvier/février 2003) l'idée selon laquelle le petit Mohamed Al-Dura ne serait pas mort: « Le décès présumé des individus est à mettre au conditionnel. La faiblesse des marques d'atteintes (pour ainsi dire nulles) tend plutôt à soutenir la thèse d'une simulation. L'absence d'autopsie et la non présentation des corps vont aussi dans ce sens. Difficile à lire ? À croire ? Ces conclusions sont pourtant corroborées par celles de l'autre expert, issu de l'armée suisse ! Non, Philippe Moreau n'est pas lié au Mossad, ni à la CIA, ou à un quelconque projet de désinformation judéo-maçonnique, il va directement au but, il ne prend pas de pincettes, sauf pour disséquer les images d'un simulacre qui se voulait parfait. ».

Les écrits de Jean-Paul Ney sur la mort du petit Mohamed Al-Dura ont été très largement repris par le site « La Mena », fer de lance de la théorie du bidonnage par France 2.

Les lecteurs de Kitetoa.com savent que trois psychiatres se sont penchés sur le cas Jean-Paul Ney à des moments différents de l'instruction dans l'affaire Kitetoa contre Jean-Paul Ney.

Ils savent également que Jean-Paul Ney a été considéré par lesdits psychiatres comme étant largement instable. Rappelons ce commentaire des médecins : « ce sont en fait des traits mégalomaniaques et immatures associés à une certaine propension à surévaluer ses résultats et ses capacités qui dominent chez Jean-Paul Ney. Par ailleurs on note chez lui une réelle tension narcissique avec probablement un sentiment de mise en danger quand il est contesté ». Les écrits de Jean-Paul Ney reflètent ses tensions intérieures. Et sont souvent le fruit d'une imagination galopante.

Cela s'était vu dans la page « l'équipe » d'Intelink. Cela se retrouve dans ses écrits à propos d'Al-Dura. Selon Jean-Paul Ney, Moamed Al Dura ne serait pas mort. Tout cela serait un simulacre... Attachons-nous quelques instant à l'expert cité en long en large et en travers (surtout en travers) par Jean-Paul Ney: Philippe Moreau.

Que nous dit Jean-Paul Ney?

« j'ai fait appel à quatre experts indépendants de tout lien avec cette affaire : Ils ne sont pas israéliens, ni juifs, ni musulmans, ni arabes. Ils sont bien loin d'avoir posé une seule fois le pied au Moyen-Orient et ont rarement suivi l'affaire, juste vu ces images. L'un est expert en balistique lésionnelle, Philippe Moreau. Il assure depuis 1988 la formation des élèves paramédicaux de l'armée française concernant l'armement et la balistique lésionnelle. « Environ 150 élèves par an, issus de toutes les armes » nous affirme-t-il. Tireur de précision, qualifié sur toutes les armes légères en service dans l'armée française et moniteur de tir, ce professionnel est l'auteur d'un ouvrage intitulé « Approche de la balistique lésionnelle et des effets d'un projectile sur un organisme vivant », qu'il a rédigé et qui a été édité en interne par le service de santé des Armées. Il sert de support de cours à ses étudiants, et aussi de référence pour de nombreux professionnels de la santé, de l'armement et de la défense en France. « Ma formation de plusieurs années est passée par l'étude des travaux du Professeur Jourdan, et de ceux menés par la chaire de balistique lésionnelle de la faculté de médecine de Marseille. La qualité de mes recherches et de mes travaux m'a accordé le crédit nécessaire de la part de nombreux médecins et professeurs spécialisés pour être autorisé à enseigner la discipline et à être consulté pour des questions de balistique et d'armement par de nombreux organismes » explique-t-il. »

Voici donc l'expert Philippe Moreau qui va permettre à Jean-Paul Ney de conclure que le reportage de France 2 est un simulacre.

[A parte: vous rechercherez si vous avez du temps à perdre la chaire de balistique lésionnelle de la faculté de médecine de Marseille. Son existence est loin d'être prouvée...]

Nous nous sommes permis de lancer une recherche Google sur le nom de cet expert. Sans véritable succès.

Google n'étant pas tout, nous avons pris la peine de demander au SIRPA s'il était possible de joindre Philippe Moreau. Pas de chance, il est inconnu au SIRPA.

Philippe Moreau assure depuis des années la formations des élèves paramédicaux de l'armée? Nous avons joint la Dicod (Délégation à l'Information et à la Communication de la Défense). Pas plus de succès. Philippe Moreau reste inconnu.

L'expert cité par Jean-Paul Ney ayant publié, toujours selon Le Confidentiel, un ouvrage via le se service de santé des armées, nous avons joint la personne qui s'occupe des personnels civils de ce service. Philippe Moreau reste inconnu.

Zut et reflûte.

Toujours pas résolu à accepter l'idée que Jean-Paul Ney ait pu bindonner une telle histoire, nous avons joint le service de la communication et de l'information du Service de santé des armées. Là, c'est un général qui a donné l'autorisation de faire une recherche pour trouver enfin ce Philippe Moreau, expert tant consulté et écouté de l'armée, qui aurait publié un rapport dans son service.

Manque de chance, Philippe Moreau reste introuvable.

Les experts en balistique du Service de Santé des Armées (qui se connaissent tous entre eux, dixit l'armée) se sont à leur tour mis à fouiller dans leurs bibliothèques pour retrouver « l'ouvrage » de Philippe Moreau. Toujours sans succès. Si toutefois lesdits experts (pour de vrai) de l'armée devaient retrouver trace de Philippe Moreau, nous ne manquerions pas de vous en faire part ici-même...

:))

Il semble donc possible de dire que Philippe Moreau, l'expert de l'armée française, qu'il soit civil ou militaire est sorti tout droit de l'imaginaire débordant de Jean-Paul Ney.

En faisant cela, Jean-Paul Ney est encore passé pour [insérez ici ce que vous vouilez] et a impliqué son éditeur, Publia, mais aussi l'armée française.

Il a en effet attribué à un supposé expert de l'armée la conclusion sans appel suivante sur la mort du petit Mohamed Al-Dura: « Le décès présumé des individus est à mettre au conditionnel. La faiblesse des marques d'atteintes (pour ainsi dire nulles) tend plutôt à soutenir la thèse d'une simulation. ».

Il n'est pas certain que l'armée française souhaite être impliquée de près ou de loin dans cette affaire.

C'était notre quart d'heure « bienvenue dans un monde mythomaniaque et fantasmagorique, celui de Jean-Paul Ney ».


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Kitetoa




Update du 09/01/2005

Jean-Paul Ney ne manque jamais une occasion de se ridiculiser. Il vient donc de publier une « droit de réponse » sur son site, dans lequel il traite le webmaster de Kitetoa.com de menteur... Ca change des menaces de mort sanctionnées par une condamnation à un an de prison avec sursis, deux ans de mise à l'épreuve et une obligation de soins psychiatriques.

En quoi, nous direz-vous, Jean-Paul Ney se ridiculise-t-il en publiant quelques documents visant à démontrer qu'il n'a pas raconté des histoires dans son « enquête » sur le petit Mohamed Al-Dura?

Commençons par étudier les documents que nous propose Jean-Paul Ney:

- un email envoyé par un certain Philippe Moreau à Jean-Paul Ney,
- la carte d'identité d'un certain Philippe Moreau. Fort bien. Il existe un Philippe Moreau en France. Merveilleux. Entre nous, c'était prévisible et Kitetoa.com donnait dans son article un lien vers une recherche Google qui le laissait entendre,
- une attestation « signée de la main du médecin général, le docteur Alfonsi, Commandant de l'Ecole du Personnel Paramédical des Armées ».

Et voilà où Jean-Paul Ney trouve le moyen de se ridiculiser une nouvelle fois. Que dit cette attestation?

Datée du 16 septembre 1999 (il y a cinq ans), elle contient le texte suivant : « Le sergent Moreau Philippe, est affecté à l'Ecole du Personnel Paramédical des Armées à Toulon, depuis le 2 juillet 1990. En qualité de Commandant de l'école, je n'ai qu'à me louer de ses services comme d'ailleurs mes prédécesseurs. Au cours de son affectation, le sergent Moreau a utilisé ses compétences particulières pour assurer la formation au sein de l'E.P.P.A. des élèves infirmiers dans les domaines de l'armement, des protections balistiques et de la balistique lésionnelle ».

Cette attestion appelle au moins deux remarques:

1)pourquoi date-t-elle de 1999 et pas de 2004? Si, comme le dit Jean-Paul Ney dans son article sur Mohamed Al-Dura, Philippe Moreau forme chaque année 150 élèves paramédicaux de l'armée française, il formait encore l'an dernier des élèves et son attestation, visant à prouver les mensonges d"Antoine Champagne, devrait dater de 2004. Cela permettrait en outre de clouer le bec de la personne qui gère les personnels civils et militaires de l'armée et qui nous a dit clairement qu'elle ne connaissait pas de Philippe Moreau.
2)Philippe Moreau formait en 1999 des élèves infirmiers. A Toulon. Dont acte.

Maintenant revenons à ce que nous disait Jean-Paul Ney sur ce Philippe Moreau dans son article sur Mohamed Al-Dura:  

« L'un est expert en balistique lésionnelle, Philippe Moreau. Il assure depuis 1988 »

1988 comme le dit Jean-Paul Ney ou 1990 comme le dit le médecin général Charles Alfonsi?

«  la formation des élèves paramédicaux de l'armée française concernant l'armement et la balistique lésionnelle. « Environ 150 élèves par an, issus de toutes les armes » nous affirme-t-il. »

Un peu de précision et d'honnêteté aurait utilement poussé Jean-Paul Ney à dire qu'il s'agissait d'élèves infirmiers. A Toulon.

« Tireur de précision, qualifié sur toutes les armes légères en service dans l'armée française et moniteur de tir, »

Tiens, voilà un sujet sur lequel Philippe Moreau n'apporte pas de documents. On imagine pourtant qu'il doit disposer de nombreux papiers de l'armée attestant du fait qu'il est moniteur de tir pour de nombreuses armes.

« ce professionnel est l'auteur d'un ouvrage intitulé « Approche de la balistique lésionnelle et des effets d'un projectile sur un organisme vivant », qu'il a rédigé et qui a été édité en interne par le service de santé des Armées. »

C'est là un point essentiel soulevé par l'article de Kitetoa.com. Aucun de nos interlocuteurs dans l'armée n'a pu retrouver la trace d'un tel document. En tout cas pas le service de santé des armées qui aurait « édité » ce document. A ce sujet, ni Jean-Paul Ney, ni Philippe Moreau n'apportent la moindre contradiction.

« Il sert de support de cours à ses étudiants, et aussi de référence pour de nombreux professionnels de la santé, de l'armement et de la défense en France. »

Encore une fois, Personne au SIRPA, à la Dicod, au service de la communication et de l'information du Service de santé des armées ni aucun des experts en balistique du Service de Santé des Armées consultés par le service sus-nommé, ne peut retrouver la trace de « ce document de référence ».

« Ma formation de plusieurs années est passée par l'étude des travaux du Professeur Jourdan, et de ceux menés par la chaire de balistique lésionnelle de la faculté de médecine de Marseille. « 

Chaire dont Kitetoa.com n'a jamais pu retrouver la trace. On a du mal chercher.

« La qualité de mes recherches et de mes travaux m'a accordé le crédit nécessaire de la part de nombreux médecins et professeurs spécialisés »

Mais visiblement pas une grande notoriété puisque les experts en balistique du service de santé des armées ne le connaissent pas.

« pour être autorisé à enseigner la discipline et à être consulté pour des questions de balistique et d'armement par de nombreux organismes »

Maintenant, revenons au « droit de réponse » de Jean-Paul Ney. Car il vaut aussi son pesant de cacahouètes:

« Ce texte truffé de fausses vérités et qui respire la haine contre notre magazine a été publié sur le site kitetoa.com et a été constaté par huissier de justice. »

Truffé de fausses vérités? Qu'est-ce donc qu'une fausse vérité? J'aimerais bien savoir comment une vérité parvient à être fausse...

Kitetoa.com ou son webmaster n'ont aucune haine contre Jean-Paul Ney ou son magazine (qui ne semble plus paraître). Rappelons à Jean-Paul Ney qu'il a été condamné à un an de prison avec sursis, deux ans de mise à l'épreuve et une obligation de soins psychiatriques pour menaces de mort réitérée contre Antoine Champagne, webmaster de Kitetoa.com. S'il y a haine quelque part, il ferait probablement mieux de chercher de ce côté là.

Enfin, pour les constats par huissier de justice de Jean-Paul Ney, le sujet a déjà été évoqué dans cet article (Et des comme ça, nos conseillers juridiques en ont à la pelle dans un très gros dossier, disait Jean-Paul Ney...). Si Jean-Paul Ney avait les moyens de prouver que les affirmations de Kitetoa.com sont fausses, il ferait l'un des procès fantômes qu'il a annoncés mille fois.

Un peu plus loin, Jean-Paul Ney, en plus de se ridiculiser à nouveau, n'oublie pas de démontrer sa mauvaise foi:

« Vous constaterez le grand professionnalisme usé qui consiste à effectuer des enquêtes avec l'aide du moteur de recherche Google... »

(professionnalisme usé? Comprenne qui pourra...)

Qu'écrivait-on dans l'article qui déplaît à Jean-Paul Ney?

« Google n'étant pas tout, nous avons pris la peine de demander au SIRPA s'il était possible de joindre Philippe Moreau. Pas de chance, il est inconnu au SIRPA ». Et nous citions ensuite les autres organismes de l'armée que nous avons contactés (Dicod, service de la communication et de l'information du Service de santé des armées). A ce propos, nous ne manquerons pas de communiquer auxdits services les documents scoopiques publiés par Jean-Paul Ney afin de solliciter leur avis. Histoire d'enquêter avec un professionnalisme pas trop usé.




Update du 25/01/2005

N'en déplaise à Jean-Paul Ney qui avait, paraît-il, de quoi nous poursuivre pour diffamation si nous ne nous fendions pas d'un rectificatif après la publication de ce papier, les services de l'Armée que nous avions contacté lors de notre petite enquête n'ont pas réussi à retrouver l' « expert » Philippe Moreau décrit dans son article. Armés de l'attestation publié durant quelques heures sur le site de Jean-Paul Ney, lesdits services ont toutefois remonté la piste.

Ils ont retrouvé un Philippe Moreau (ancien sergent), et civil depuis longtemps qui aurait donné des cours dans l'école citée, pour des brevets de secouriste. Et ce, il y a des années, comme le laissait penser l'attestation.

On est donc très loin de l'expert décrit en ces mots:

« L'un est expert en balistique lésionnelle, Philippe Moreau. Il assure depuis 1988 la formation des élèves paramédicaux de l'armée française concernant l'armement et la balistique lésionnelle. « Environ 150 élèves par an, issus de toutes les armes » nous affirme-t-il. Tireur de précision, qualifié sur toutes les armes légères en service dans l'armée française et moniteur de tir, ce professionnel est l'auteur d'un ouvrage intitulé « Approche de la balistique lésionnelle et des effets d'un projectile sur un organisme vivant », qu'il a rédigé et qui a été édité en interne par le service de santé des Armées. Il sert de support de cours à ses étudiants, et aussi de référence pour de nombreux professionnels de la santé, de l'armement et de la défense en France. « Ma formation de plusieurs années est passée par l'étude des travaux du Professeur Jourdan, et de ceux menés par la chaire de balistique lésionnelle de la faculté de médecine de Marseille. La qualité de mes recherches et de mes travaux m'a accordé le crédit nécessaire de la part de nombreux médecins et professeurs spécialisés pour être autorisé à enseigner la discipline et à être consulté pour des questions de balistique et d'armement par de nombreux organismes » explique-t-il. »

Les services de l'armée, à nouveau consultés, confirment que ses experts (des médecins) ne connaissent pas Philipe Moreau. Pour quelqu'un qui a publié un document de référence édité par ledit service, c'est un peu dommage.

Comme nous l'écrivions, Jean-Paul Ney a, en décrivant son expert en ces termes, impliqué son éditeur, Publia, mais aussi l'armée française.

Il a en effet bien attribué à un supposé expert de l'armée française la conclusion sans appel suivante sur la mort du petit Mohamed Al-Dura: « Le décès présumé des individus est à mettre au conditionnel. La faiblesse des marques d'atteintes (pour ainsi dire nulles) tend plutôt à soutenir la thèse d'une simulation. ». Connaissant les répercussions de cet événement, on peut penser que cette démarche n'est pas anodine.

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