Les sites du gouvernement américain ne sont pas branchés confidentialité...
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des papiers sur le monde étrange des administrateurs réseau et systèmes |
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de nos copies d'écran sur ce même monde étrange Cette page n'est plus mise à jour depuis août 2001 |
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| La hotte du Kitetopapanoël |
| Ze Mega
Kite-Teuf! La fête de l'été de Kitetoa... Les sites les plus nazes de l'été 2000 |
| La
Loi de 78 impose aux entreprises de protéger les bases de données qu'elles constituent... |
C'est marrant, je vois tous les trois jours des articles américains qui expliquent que les forces armées américaines, les services de renseignement américains, le gouvernement américain, sont flippés par la cyberguerre. Ils ont prévu toutes sortes de choses et vont même retirer de leurs sites web les données sensibles comme les informations relatives à la production d'armes de destruction massive. Pourtant, il ne se passe pas un mois sans que nous soyons amenés par hasard sur des pages contenant des données qui devraient normalement l'être. Le tout sur des sites militaires ou du gouvernement américain.
Le dernier que l'on avait trouvé, on n'en avait même pas fait un papier tellement c'est monnaie courante. J'avais transmis l'information à un journaliste américain puisque les responsables du site gouvernemental ne semblaient pas pressés de réparer. C'était sur un sous-serveur de la Chambre des représentants. Le papier du journaliste américain était paru sur Newsbytes.
En se promenant sur le Web ces jours-ci, nous sommes tombés sur d'autres trucs amusants...
Ainsi, sur le site du Pacific Northwest National Laboratory, on arrive en deux coups de souris sur la base contenant tous les contacts des chercheurs dans le monde. Y compris le correspondant français... Tout cela ne serait pas **si** grave s'il n'était possible de modifier ces coordonnées en modifiant la fin de l'adresse (URL). Je ne vous raconte meme pas le social engeneering que pourrait faire le vila Bin Laden (depuis sa grotte). Putain de Cyber-guerre! (Plus) jamais ça!
Mais il n'y a pas que ça.
Ici, c'est la liste des abonnés à une publication d'un ministère, là, ce sont les opinions des visiteurs du ministère de la Justice, là encore, ce sont les dollars générés par la vente en ligne de données gouvernementales... Bref, ça part dans tous les sens.