Pédophilie à l'école, le silence reste de mise... |
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Une camarade de jeu nous a raconté l'histoire
qui suit. Nous l'avons trouvée tellement ahurissante que nous lui avons demandé de
l'écrire. Voici le résultat. Tel que. Au moment où Ségolène Royal nous explique que l'Education Nationale a reçu des consignes strictes pour ne plus enterrer les affaires de pédophilie, ce texte met en lumière certaines résistances à appliquer les consignes... Des rumeurs courraient depuis 3 ans (date à laquelle nous avons investi cette charmante bourgade de la banlieue parisienne).. mais nous ny avions prêté quune oreille distraite.. et discrète.... jusquà ce jour doctobre 1999 où nous avons appris que le directeur de lécole (et néanmoins instituteur de CM2... le " cumul des mandats " à lEN neffraie personne) avait été mis la veille en garde vue pendant 24 heures suite à plusieurs plaintes déposées pour agressions sexuelles et relâché. Il se pavanait donc à la sortie de lécole... La rage prit quelques parents. Nous sommes donc allés aux sources de linformation : Nous avons rencontré (fin octobre 99) les jeunes filles qui ont déposé plainte (début 99). Elles nous ont, sans animosité aucune, raconté les exactions de ce Monsieur. Nous les avons questionnées, bien sûr, sur la raison pour laquelle elles ne portaient plainte que maintenant. Leur réponse fut très claire : elles "démarraient" une vie amoureuse, et le passé a resurgi. Nous leur avons demandé bien sûr ce que ce M. Kitouche leur faisait : elles nous ont toutes dit quil passait la main sous leur T-shirt, leur palpait la naissance des seins, leur touchait le bas-ventre et cela, plusieurs fois par semaine. Pourquoi navaient elles pas réagi ? Parce que quelque part, elles savaient que ce nétait pas normal quil fasse ça, mais cétait leur instituteur, et elles navaient aucune notion, à 10 ans, de ce qui se fait et ne se fait pas, juste une intuition. Elles laimaient bien leur instituteur, et en parlant, elles avaient peur de lui faire du mal. Elles ont donc été, au cours de cette garde à vue doctobre 99, confrontés à M. Kitouche. Qui a avoué en quelque sorte: " je regrette ce que jai fait, je nai pas voulu vous faire de mal "... Cette phrase ne fut pas portée au procès verbal... Une des plaignantes a donc avisé lOPJ, et lui a dit : " il vient davouer ". LOPJ a donc demandé à M. Kitouche " vous confirmez "... et lautre de répondre " Non, ce nest pas ce que jai voulu dire ". Et hop, le tour est joué.... Rien de tout cela na été inscrit dans les PV !!! Remarquable non? Nous avons fait des recherches sur Internet et avons trouvé la circulaire de S. Royal concernant lattitude à adopter dans les écoles pour des faits similaires et tout un document sur la prescription. Nous sommes également allés au commissariat. Nous avons été reçues pendant 1heure par la personne en charge du dossier. Elle nous a confirmé que cela ne létonnait pas que ces jeunes filles naient porté plainte que très tard. Cest malheureusement ce qui se passe dans la majorité des cas. Elle nous a confirmé que ce dont était "accusé" ce Monsieur était grave : "agression sexuelle". Mais, pas de chance.... lors de sa garde à vue le parquet a appelé en demandant quon le relâche pour prescription des plaintes (un peu confus pour nous). Il ne serait donc jamais jugé... en tout cas pour ces 3 plaintes. Nous lui avons signalé que sur les documents que nous avions concernant la prescription, il était écrit noir sur blanc que la prescription pour agressions sexuelles était de 3 ans après la majorité lorsque les faits avaient été commis sur mineur par personne ayant autorité. Elle na pas bronché... mais la police, cest pas la justice donc... Nous savions, par les jeunes filles, que deux autres plaintes relatant des faits plus récents, avaient été déposées. LOPJ ne nous en pas parlé, et nous nous sommes bien gardés de lui en parler. Le plus important de tout dans cette histoire, est que cette personne nous a dit que la magistrate, malgré la prescription, avait demandé à ce que lenquête continue. Le dossier nétait donc pas clos (ce que nous savions déjà, puisque la magistrate avait exceptionnellement reçu une des plaignantes pour lui expliquer le principe de la prescription, en ajoutant (et donc outrepassant ses droits) quelle croyait les "filles" et que M. Kitouche avait néanmoins le profil type du pédophile et que cest pour cette raison quelle avait demandé la poursuite de lenquête. Mais quil ne fallait surtout pas lébruiter afin que ce Monsieur se pense sorti daffaire... !!!). Notons que cette magistrate est spécialisée dans ce genre daffaire. Bref, la personne chargée du dossier nous en a dit beaucoup plus, à mon avis, quelle naurait dû le faire. LE PETIT PLUS : nous avons appris plus tard que le commissaire était un bon ami de M. Kitouche! En analysant lentretien que nous avons eu avec lOPJ, nous en avons déduit quelle nous en avait dit beaucoup pour que ça se sache, et quelle-même devait être coincée par son chef... qui devait la freiner... Ça barrait bien tout ça ! Enfin, nous nous sommes "attaqués" à léducation nationale. Nous nous sommes regroupés (12 parents) et avons écrit une lettre, le 8 novembre, très modérée à larmée mexicaine de lEN... (S. Royale, linspectrice "nationale", linspecteur régional, linspectrice départementale (Mme B.), le maire, ladjoint aux affaires scolaire de la mairie (M. F.), et les 2 fédérations de parents délèves) Alors là.... courage fuyons... Le 12 novembre, malgré le pont, linspectrice départementale chargée de la commune, Madame B., qui avait reçu notre courrier, a déboulé dans une réunion de parents délèves (conseil décole au cours duquel tout est noté les problèmes de lécole, cantine etc. et qui fait lobjet de ce que l'on appelle un rapport moral dont on ne sait pas ce quil devient et ni à qui il est distribué). Elle était hors delle "il y en a assez de ces ragots et rumeurs de trottoir. Le dossier est clos. Il ny a rien, il est vide, il ny a jamais rien eu. De toute façon cette lettre na été signée que par 12 parents..." En gros, peanuts, quoi ! Pour mémoire, le commissariat nous avait tout de même dit, 10 jours auparavant, que lenquête continuait... Certains parents inquiets lont appelée. Sa réponse a été toujours la même : "il ny a rien. Ca na jamais existé. Et ceux qui continueront à faire courir ces bruits, M. Kitouche les attaquera en diffamation!". Trouille des parents quoi! LE PETIT PLUS : cette dame est une excellente amie de M. Kitouche puisque ce dernier lui fait son jardin et quils partent en vacances ensemble... Petite précision : A ce jour (février 2000), nous navons toujours reçu aucune réponse de léducation nationale.... Et pourtant nous avions mis notre adresse !!! NOUS AVONS PRIS RENDEZ VOUS AVEC LA MAITRESSE DE NOTRE FILS POUR LUI EN PARLER. Elle nous a fort bien reçus et de façon très posée et très ouverte. Elle ne peut, et cela se comprend, émettre un avis. "En tout cas une chose est sûre, nous a t elle dit, cest que lEducation Nationale na pas fait son travail..." LUN DENTRE NOUS PREND RENDEZ VOUS AVEC LE DIRECTEUR, M. Kitouche, le mardi suivant lirruption de Mme B en conseil décole (Notons que le Directeur avait lu la lettre et quil savait très bien que son interlocuteur lavait signée... mais il a fait comme si il lignorait !). Au cours de cet entretien, à aucun moment, M. Kitouche na " clamé " son innocence. Il est resté calme mais sest un peu coupé.... et sen est rendu compte... Du style, "elles veulent me faire payer parce quelles ont des problèmes avec leur petits copains... Et puis de toute façon, yen a une, à cette époque, pour elle, ses seins ça devait être....". Là il sest retourné, et il a compris quil avait été un peu loin... et que son interlocuteur avait compris de quoi il sagissait. REBONDISSEMENT : LEDUCATION NATIONALE FAIT DU MARKETING Vlà ty pas quun jour, dans le cahier de correspondance de nos enfants, Mme B. " invite "le 22 janvier 2000 les parents des écoles du bourg à une réunion sur lavenir de lécole en France etc. Ni une, ni deux, nous y allons.... Il faut dire que cela navait pas attiré grand monde (environ 50 parents pour 4 ou 5 écoles). Etaient présents à cette réunion tous les directeurs dont M. Kitouche... Mme B. invite les directeurs à sasseoir autour delle : et jentends M. Kitouche. dire "je vais me faire lyncher". Or, nous parents pas idiots, avions décidé de parler de cette affaire certes, mais de façon subtile. Car contrairement à ce que crie sur les toits Mme B. , nous nalimentons pas la rumeur... Après 2 h00 dexposé sur la perfection de lEN, elle passe aux revendications des parents... Notons quà ce moment là, M. Kitouche avait quitté la réunion....."Il faut, si vous avez des choses à dire, que vous le fassiez avec courtoisie. Vous pouvez me contacter ou mécrire. Il y en a même qui ont directement écrit au ministre (ça cétait pour nous...). Je réponds toujours aux courriers qui, en général, me sont transmis par la hiérarchie." Je lève un petit doigt timide... "Et vous répondez dans quel délai ?" Réponse "Une semaine pour les problèmes sans trop dimportance, et maximum 15 jours pour les autres..." Ben tu penses... Nous ça fait 3 mois quon attend une réponse...Lheure tournant, nous devions récupérer notre fils à lécole..., nous nous levons : "Mme B. nous vous remercions de vous être déplacée, et ne regrettons quune chose, cest que M. Kitouche soit parti en plein milieu de cette charmante réunion et que M. F (adjoint aux affaires scolaires à la mairie) nait pas jugé utile de se déplacer". BLANC DANS LASSISTANCE... Mme B. a fort bien compris de quoi nous voulions parler... LA FCPE SE MOUILLE Nous sentant un peu seuls, nous avons décidé de faire appel à la FCPE (du moins est-elle la seule à avoir répondu à notre demande, la PEEP nayant même pas daigné sintéresser au problème... Des représentants de cette fédération étaient pourtant présents lorsque Mme B. a déboulé en conseil décole le 12.11...) Nous avons donc concocté une lettre qui a été distribuée le dernier samedi de janvier à la sortie de lécole 11h30, uniquement aux parents et cachetée afin que les enfants, que nous avons tout le temps tenus à lécart, ne soient pas éclaboussés par tout ça. REBONDISSEMENT : Nous avons appris que le matin même (avant que la lettre ne soit distribuée), les maîtres sétaient réunis... au sujet de ce courrier. En rentrant dans sa classe, une des maîtresses de CM2 a dit aux enfants " on va distribuer une lettre à vos parents à la sortie de lécole. Tout ce qui est écrit dans cette lettre est faux ". Malheureusement, dans sa classe, se trouve le petit frère de lune des plaignantes !!!! quel tact !!! QUESTION : Comment léquipe a-t-elle eu connaissance du contenu de ce courrier qui n était pas encore distribué ???????? Ya un loup dans la bergerie.... ET LENQUETE ? Nous avons appris que le parquet avait décidé, mi-décembre, de retirer laffaire du commissariat et de le transmettre à la brigade des mineurs (mais fô pas le dire...) . Car, figurez-vous, que finalement prescription il ny aurait plus !!!! Il leur aura quand même fallu près de 4 mois 1/2 pour le reconnaître.... Mais curieusement, Mme B. na pas lair au courant puisque, à la suite de la distribution de la lettre, et à la veille des vacances, Mme B. fait afficher lextrait (concernant cette affaire) du rapport moral de lécole (réunion au cours de laquelle, souvenez-vous, elle avait débarqué) qui datait donc du mois de novembre disant en substance quil ny a pas daffaire, que le dossier est clos et que tout ça nétait que rumeurs et ragots... Elle persiste et signe ! CE QUE NOUS SAVONS... Nous savons quune des plaignantes a remis au commissariat une liste de noms de jeunes filles qui avaient subi les mêmes choses et que cette liste, curieusement, a disparu du dossier... Comme nous la dit une des plaignantes, "nous savions entre nous, sans avoir besoin den parler, laquelle avait été choisie, et ce qui se passait dès que M. Kitouche les appelait à son bureau" Ces pas bô ça ? Nous savons que M. Kitouche avait disposé la classe de telle façon (le bureau derrière les élèves et non devant) que seuls certains élèves pouvaient voir ce quil faisait avec les petites filles sur ses genoux. Une des jeunes filles avait, à lépoque des faits, dessiné dans son journal intime, la disposition des tables et du bureau (étrange non ) Nous savons que des garçons ont témoigné sur la façon dont il se comportait avec les filles (certaines dentre elles). Nous savons que la mairie (dont ladjoint aux affaires scolaires qui est, lui aussi, un bon ami de M. Kitouche) a mis près de 4 mois pour envoyer à la police les listes des élèves ayant fréquenté les classes de M. Kitouche. Nous savons que lorsque lofficier de PJ a appelé les parents des ces enfants, lune dentre elle lui a dit "Il a essayé de tripoter ma fille, mais elle sest défendue"... Tout ça nest inscrit nulle part. Nous savons que les 2 plaintes qui ont été déposées, et qui ne sont pas prescrites (enfin les autres ne le sont plus non plus...) étaient trop légères pour justifier une autre garde à vue... dixit lOPJ. Nous avons eu le contenu de la plainte : idem que les autres avec en plus.... "pendant les récréations, il memmenait parfois dans la salle des maîtres et recommençait"... Mais cest rien ça... Nous savons et alors là, bravo certains parents..... que dautres plaintes pourraient être déposées, mais que des parents qui ne veulent surtout pas dembrouilles, pratiquent la loi du silence... Plusieurs petites filles (qui sont maintenant en 6è) se sont plaintes à diverses reprises des actes de M. Kitouche. Et ben figurez vous que leurs parents leur demande de se taire... On aura tout vu... Ces mêmes parents, pour surtout ne pas avoir demmerdes, qualifient ces gestes de "familiers".... Plus fort.... à la suite de laffichage fait par Mme B. lune de ces mères a eu la bêtise (ou linconscience) de nous dire "et bien vous voyez, tout ça nest pas vrai. Vous navez plus de raison de vous en faire !" On a halluciné!!! dautant que la fille de cette dame sétait plainte des gestes "familiers" de M. Kitouche! Nous savons que, pendant les classes de mer, certaines petites filles se sont plaintes du fait que M. Kitouche les regardait prendre leur douche. Dailleurs, curieusement, depuis 2 ans, il ny a plus de classes de mer, et nous narrivons pas à savoir officiellement pourquoi ! Nous savons dautre part que des jeunes filles (qui étaient dans la même classe que les 1ères plaignantes) ont eu à subir les attouchements de ce gros dégueu, mais quelles ne souhaitent pas porter plainte, qui pour raisons religieuses, qui pour ne pas faire de mal.... Aucune de ces jeunes filles ne semble se rendre compte que ne rien dire permet à cet espèce de dégueulasse de continuer à tripoter les petites filles... Nous savons que Mme B. sévit dans une autre commune. Quelle a semble-t-il couvert un médecin scolaire dont lattitude avait ému la directrice, laquelle a envoyé une lettre au procureur faisant état de ses craintes. Cette lettre est revenue sur le bureau de Mme B. qui a déboulé (décidément, cest une grande débouleuse) dans le bureau de ladite directrice en lui demandant de se rétracter. Vu que Mme B. décide en partie des crédits accordés aux écoles , et bien Mme La directrice a cédé... Nous savons que Mme B. a nommé M. Kitouche à la commission de lEN pour les enfants en difficulté (je ne me souviens pas du nom exact de la chose)... Ben voyons. Au cours des réunions diverses de cette commission, nous avons appris que ce Monsieur se comporte comme un porc grossier... et vulgaire Bref, on sait plein de choses, mais on ne peut pas en parler, de peur de faire capoter la peut-être future éventuelle enquête..... dur dur non? KANTANOU ? et ben on est comme des cons.... On sait beaucoup de choses et on ne sait, en revanche, pas à qui le dire.... puisque le dossier nest pas encore arrivé à la brigade des mineurs et que, de toute façon on ne sait même pas si il y ira un jour... Après tout ce ne sont que des mains sous T-shirt, hein !!! Rien de bien méchant. Mais on ne désarme pas. Nous allons prendre un avocat qui : dun côté soccupera de défendre les plaignantes et qui nous aidera pour "attaquer" lEN... oh oh oh.... pot de terre contre pot de fer... mais bon ! Il y a des combats dans la vie que lon ne peut pas se permettre de ne pas mener... Bref, la justice est faite de telle sorte que plusieurs solutions souvrent pour les plaignantes : soit une plainte simple (sadresser au doyen des juges et lui demander si il y a lieu de poursuivre. Si il est mal luné, il dira non... Et là cest fini pour la vie..... ) soit la magistrate demande louverture dune instruction (auquel cas, avocats etc., se mettront au boulot)... Soit le dossier part à la brigade des mineurs (et alors là, yen a pour des lustres, dautant que lavocat ne pourra pas intervenir auprès de ce service...) Donc, tout dépend de la magistrate... Les familles des plaignantes ont donc peur que, si lavocat intervient auprès de cette magistrate pour lui faire accélerer les choses, elle ne se bloque et..... hop, classement vertical... Cest cornélien tout ça... Nous souahitons que l'avocat porte plainte contre lEN et plus particulièrement Mme B., donc par ricochet M. Kitouche, pour dissimulation de la vérité (à savoir une enquête qui continue alors quon nous affirme le contraire). Notre combat est donc double : aider à ce que le mal que ce Monsieur a fait à ces jeunes filles et aux autres (petites ou grandes) soit enfin reconnu, quil soit puni pour ça... et quon lui interdise davoir une quelconque activité liée aux enfants. Que lEN prenne ses responsabilités et suspende cet être abjecte (malheureusement, il est à 2 ans de la retraite donc.... va falloir speeder...) et lempêche de nuire ailleurs. Un "déplacement-mutation" ne sert à rien... Jajouterais enfin, que nous navons aucune haine envers ce Monsieur, quil ne sagit pas dune coalition anti M. Kitouche (comme nous avons pu lentendre dire ça et là,) et que nous nagissons pas mus par un quelconque désir de vengeance. Et voilà. si vous avez des idées, des connaissances ou simplement une petite émotion à la lecture de ce long "résumé"... ou des cas similaires, ça nous intéresse.... notamment si vous avez vent dassociations (plutôt dans lOuest parisien) ou de groupements de parents qui ont eu à faire face à ce genre de situation. Lunion faisant la force, il me semble que pour se battre, il faut sunir...
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