[Kitetoa, les pizzaïolos du Ouèb

Le Pentagone se souvient…

Il fut un temps où la communauté américaine du renseignement cultivait le secret comme personne. C’était avant le temps d’Internet. Avant. Avant…

En ce temps là, les espions faisaient encore leur travail en compilant des milliers d’informations et en en tirant des " conclusions ". Dès lors, le moins on en disait sur soi et le siens, le moins on prenait de risques.

Puis est venu le temps d’Internet. Le temps de la transparence (feinte ?). Le temps où l’information va plus vite que plus vite. Même la télévision est distancée en termes de réactivité… Alors les espions s’en donnent à cœur joie.

Et puis, cela fait tellement " in " de communiquer sur l’espionnage et tout ce qui tourne autour… Que les agences de la communauté américaine du renseignement se sont lancées.

Les bonnes habitudes ne s'oublient pas si facilement...

Cette semaine, le Pentagone, se souvenant de ses anciennes habitudes du temps... d'avant, a décidé de faire le ménage et de ne plus laisser untel ou untel publier des informations sur les opérations en cours, personnelles sur les hommes et femmes qui " risquent leurs vies tous les jours " (c’est la formule, généralement) ou encore, sur les projets R&D. Les administrateurs desserveurs Web des entités sous la responsabilité du Pentagone ont donc été rappelés à l’ordre.

De ce côté-ci de l’Atlantique, on est tranquilles… Il n’y a pas grand chose de public dans ce domaine. On attend toujours un serveur officiel de la DST ou de la DGSE…

Pourtant, la DST a adopté une stratégie de prise de contacts ouverts depuis longtemps… Alors ?

Bref, passons. Un tel serveur serait sans doute d’un intérêt très limité.

Cette petite histoire nous pousse vers la question suivante : qu’est-ce qui est plus important, l’information sur les opérations militaires en cours diffusée par l’armée ou la protection des réseaux comme celui du New York Times ? De même, est-il raisonnable de concentrer toute l’attention et les ressources sur la " sécurisation des paiements en ligne au travers d’Internet " plutôt qu’à la sécurisation de l’information. En clair, il est probable que la falsification ou le travestissement de l’information diffusée par un grand médium en ligne ara plus d’impact sur l’économie que le " piratage " d’un numéro de carte bancaire…

Kitetoa

Page d'accueil

Nous écrire
By mail

Nous envoyer des commentaires
By la page de le Feed-Back

Les mailing-lists

Nouveautés

Les stats du serveur

et...

Qui sommes-nous?

Le Sommaire
de
Kitetoa
(orientation...)

Sommaire général du site
(voir tout le contenu)

Les rubriques!

Les livres publiés par Kitetoa
Les Textes
Les interviews

Kit'Investisseurs
Fonds d'écran et autres trucs

Les rubriques!
(suite)
Les Let-R-s

Des Images
On s'en fout!

KitEcout'
KessTaVu? -KiteToile
Voyages

Statisticator, l'autre site...

Les dossiers :

Precision [ZataZ]
Le monde fou des Admins
Defcon
Le hack le plus bizarre
Guerre de l'info
Convention contre la cyber-criminalité
Hack

Questionnaire visant à améliorer le contenu de  ce site si c'est possible et pas trop compliqué

Réponses au questionnaire visant...
(merci)

Le Forum
Kitetoa-blah-blah

Rechercher
sur le site

...et sur le Net


Des liens
et
D'autres choses du Ouèb