Le complot contre Olivier Aichelbaum et ses journaux fait pschiiiit! |
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Rien à faire, on ne se lasse pas de relire ce mail d'Olivier Aichelbaum: Date: Mon, 26 Aug 2002 10:08:14 +0200 Bien entendu, on peut aussi aller pêcher sur son site quelques unes de ses phrases lapidaires par lesquelles il tente de démontrer l'odieux complot dont il se dit victime: « Comme si nos problèmes avec la Commission paritaire ne suffisaient pas, quelques personnes mènent depuis trois ans une véritable guerre économique afin de couler votre petit magazine : calomnies et dénigrement à grande échelle, appels au boycott, etc. Une histoire édifiante qui vous expliquera les liens qui peuvent exister entre professionnels antivirus et auteurs-diffuseurs de virus. » Mais aussi dans le rapport de gestion 2004 de ACBM: « En sus d'un contexte économique difficile depuis plusieurs années, le magazine « Le Virus Informatique » ainsi que son personnel ont subi une vaste campagne de calomnies notamment sur Internet. La baisse des ventes étant devenue trop importante, le magazine a dû être suspendu et son rédacteur en chef licencié. Le directeur de la publication a porté plainte contre X ». En fait de X, la plainte visait Roland Garcia. Ce complot contre lui et ses journaux, Olivier Aichelbaum l'a raccroché à celui dénoncé par Tegam. Son combat contre les méchants qui ont lancé une guerre de l'information contre lui s'est soldé par l'inénarrable Virus n°26 que l'on ne présente plus. Ce combat l'a également « rapproché » de Jean-Paul Ney et de Christophe Casalegno, que l'on ne présente plus non plus. Embourbés dans une paranoïa qui les pousse à étaler publiquement des élucubrations abracadabrantesques, ils ont réussi à se rendre ridicules. Ils continuent de croire qu'ils avaient raison. Pour Jean-Paul Ney, il y a une « secte » à laquelle il me rattache, qui lui en veut. Pourtant, c'est bien lui qui a été condamné par la justice à un an de prison avec sursis pour m'avoir menacé, moi et ma famille, de mort. Il est l'initiateur de notre différent en ayant menacé ma famille. Et ce différent ne s'est réglé que devant un juge. Je n'ai jamais rien fait d'autre. La publication d'un dossier sur le volet judiciaire Kitetoa versus Jean-Paul Ney sur Kitetoa.com résulte de cette démarche judiciaire. Pour Tegam, des éditeurs d'anti-virus, alliés à Roland Garcia et Guillermito ont lancé une guerre de l'information pour détruire son produit. Pourtant, la justice, qui a condamné Guillermito pour tout autre chose, il n'y a pas vu de dénigrement, pas de diffamation non plus. A l'inverse, la justice a condamné Tegam pour avoir envoyé une lettre de dénonciation portant atteinte à l'honneur de Roland Garcia. La justice n'a donc retenu aucune des accusations (et dieu sait s'il y en avait dans ce courrier rappelant une sale époque) de Tegam à son encontre. Pour Olivier Aichelbaum, Roland Garcia s'est rendu coupable de diffamation et d'injures publiques à son encontre. Il a donc déposé plainte contre lui le 15 octobre 2003. La justice flaire visiblement qu'il n'y a là que des échanges entre deux personnes qui ne s'apprécient pas. Et le 17 décembre 2004, le TGI rend une ordonnance de non lieu. Passons sur le détail d'une procédure assez complexe. Le 5 juin dernier, la Cour d'Appel de Paris rend un non lieu et annule toute la procédure. Pourtant, nul doute qu'Olivier Aichelbaum, comme Jean-Paul Ney qui a encore entravé et faussé intentionnellement le 2 mai dernier le fonctionnement du système de traitement automatisé de données qu'est le forum de Kitetoa.com, comme Tegam, tous persisteront dans leurs délires paranoïaques de type on nous en veut, on nous attaque, on lance une guerre de l'information contre nous. Etonnamment, Olivier Aichelbaum n'a pas rendu compte du résultat de son procès contre Roland Garcia. Il ne tient donc pas « le public informé » comme il le prévoyait. Quand le pathétique le dispute à la bêtise, force est de constater que l'on se laisse aller à quelque compassion. La décision du Tribunal:
PS: au chapitre des informations diverses passées inaperçues, la mise en liquidation judiciaire de Dodata qui distribuait Viguard, logiciel développé par Tegam, elle-même mise en liquidation en mai 2005. Reste Softed chez qui a été transféré le logiciel Viguard. Retour au sommaire de l'affaire Tegam contre Guillermito
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